Les sympathomimétiques peuvent être parfois responsables, avec une fréquence faible, de réactions allergiques à type, selon leur mode d'administration, d'urticaire, d'eczéma, d'érythème pigmenté fixe, de rash scarlatiniforme, de conjonctivites, d'eczéma des paupières... Des réactions croisées existent entre éphédrine, pseudoéphédrine et noréphédrine dont la structure (de type phénylpropanolamine) est très proche. L'adrénaline et la phényléphrine et dérivés ne semblent pas croiser avec les dérivés de l'éphédrine.
Bibliographie :
Vervloet D., Pradal M., Birnbaum J., Koeppel M.C. Drug Allergy. Phadia. 2009 : 325-6.